Intervenant depuis 35 ans sur les différents domaines de la gestion des eaux superficielles et des milieux aquatiques, j’ai acquis nombre des compétences attendues pour de telles missions, aux cotés de maîtres d’ouvrages tant publics que privés.

Ne prétendant toutefois pas être un expert sur l’ensemble de ces domaines, je réunis chaque fois que nécessaire les équipes pluridisciplinaires aptes à répondre aux attentes des porteurs de projets.

Selon le projet à mener, des compétences variées seront effectivement à réunir :

• Des compétences techniques bien sûr, telles qu’en hydrologie et hydraulique, ou encore concernant la qualité des eaux, la continuité écologique ou le génie écologique ;
• Des compétences en matière de réglementation. Sur le territoire national l’eau fait l’objet d’une réglementation complexe ;
• Des compétences en terme de concertation. L’usage de l’eau concerne de nombreux acteurs dont les intérêts peuvent diverger. Souvent les projets nécessitent des phases de concertation qu’il ne faut pas négliger ;
• Des compétences de médiation. Au-delà de la concertation, l’acceptation des projets impose parfois des négociations difficiles, que ce soit entre usagers d’une même ressource ou dans les relations maîtres d’ouvrages – services de l’Etat. Le recours à la médiation s’avère alors utile.